Miser sur un clavier lavable

Le clavier est l’accessoire informatique le plus utilisé, pourtant non protégé. Dans les milieux hospitaliers, il est considéré comme une source de contamination courante où les germes se sont déposés. Pour réduire le risque d’auto contamination, pensez à le désinfecter après un bon lavage. Sinon, préférez un modèle lavable en verre que vous pourrez décontaminer facilement. En outre, sa surface lisse permet d’éliminer les microbes ou les virus de manière efficace, grâce à un simple frottement. A savoir que le clavier en verre fonctionne de la même manière qu’un modèle traditionnel qui peut propager rapidement un virus.

Manipuler son masque

Le contexte actuel exige de porter un masque à tout moment. Utilisé dans le secteur de la santé, il faut suivre certaines règles pour éviter qu’il devienne une source d’auto contamination. En effet, on a tendance à le toucher avec la main de manière mécanique. Cette simple action peut cependant entraîner une auto contamination et une contamination pour les autres individus. Alors, il vaut mieux changer le masque toutes les 4 heures. S’il est humide, retirez-le. Pour ce faire, évitez de toucher la zone protectrice avec votre main. Cela pourrait vous contaminer si cette dernière est en contact avec une partie de votre corps. Enlevez-le donc à partir de ses élastiques, puis désinfectez vos mains.

Bien nettoyer son smartphone

Aujourd’hui, de plus en plus de personnes passent leur temps à utiliser leur téléphone. Cependant, c’est un vecteur de contamination. Environ 4 individus différents manipulent le même téléphone dans une seule journée lors des échanges sociaux. Dans le monde médical, il arrive souvent de se passer l’appareil entre collègues. Pour éviter de vous transmettre les microbes et le virus les uns aux autres, il faudra penser à décontaminer votre téléphone en utilisant un chiffon en microfibre. Trempez le tissu dans l’alcool et frottez attentivement votre écran. Veillez à ne pas l’imbiber pour ne pas l’endommager. Ensuite, nettoyez sa coque arrière.

Faire des exercices physiques

Les douleurs peuvent se manifester de différentes manières, car elles peuvent provenir de cas différents. Il se peut que ça vienne des problèmes d’articulation, du traumatisme de la colonne vertébrale ou encore des irritations. C’est vrai que si on fait trop d’effort, cela peut engendrer des douleurs. Mais rester immobile, à attendre que ça passe, sans rien faire, ne fera qu’aggraver la souffrance.

Pour y remédier, il faut pratiquer des exercices adaptés. Quand on parle d’exercice physique, on ne mentionne pas les sports trop violents. On déconseille tout de suite le foot, les combats et la course, il faut juste des exercices qui permettent d’étirer et de renforcer les muscles comme la natation, le yoga ou la marche. Vous pouvez également faire des exercices d’assouplissement.

Avoir une alimentation saine

Il est important de bien s’alimenter pour donner de l’énergie à l’organisme. Il faut s’hydrater régulièrement pour une bonne circulation. En l’occurrence, vous devez boire au moins 1.5 litre d’eau par jour, et encore plus en cas de forte chaleur ou quand vous faites des exercices physique. C’est déjà un effort pour soulager la douleur.

Le sommeil joue aussi un rôle dans le fonctionnement de l’organisme, ce qui implique qu’il faut dormir convenablement. Complétez votre quota horaire de 7 heures de sommeil par nuit. Les siestes sont recommandées, mais les repos prolongés n’aident pas à soulager les douleurs.

Prendre des médicaments

Cette option n’est pas toujours la première à être conseillée, mais c’est souvent la solution adoptée par les personnes qui souffrent de mal de dos. Bien évidemment, ce sont tout de suite les anti-inflammatoires qui peuvent réduire la souffrance. L’antalgique de type paracétamol est utilisé couramment. Le CBD est aussi considéré comme antidouleur qui réduit les inflammations. C’est aussi un produit qui a apportent de nombreux bienfaits sur le corps, visitez le site pour en savoir plus. En revanche, ces médicaments n’éliminent pas tout à fait les maux, mais allègent les douleurs.

Consulter le médecin

Faire appel à un kinésithérapeute peut rassembler le procédé de toutes ces préventions. Le traitement passera par un massage, des étirements, des exercices pour la libération de la tension, et des renforcements musculaires. Les médecins recommandent ces exercices avec une alimentation saine. Toujours se mettre au chaud aidera à améliorer le traitement afin d’avoir de bons résultats. Vous pouvez aussi prendre rendez-vous auprès des instituts de bien-être pour vous faire chouchouter de temps en temps.

Les douleurs peuvent durer des heures, des jours et même des semaines donc il faut prendre la meilleure prévention possible. Il faut toujours travailler les bonnes postures, savoir se tenir bien droit et essayer de ne pas trop se fatiguer.

Le tensiomètre : à quoi ça sert ?

Le tensiomètre brassard affiche en même temps sur le cadran électronique la pression systolique, la pression diastolique et le pulse. La pression artérielle normale est inférieure à 120 mmHg pour la systole et inférieure à 90 mmHg pour la diastole. La pulsation du cœur varie de 80 à 90 par minute. Il est toujours conseillé de faire un suivi de sa santé artérielle, au moyen d’un tensiomètre, qui permet de mesurer la pression sanguine ou la pression artérielle. Le tensiomètre est ainsi un appareil médical, mais vous pouvez vous en acquérir si vous désirez mesurer vous-même votre pression artérielle. Il en existe plusieurs types avec des fonctionnalités diversifiées. Les personnes de troisième âge, et celles qualifiées d’immunodéprimées, devraient en avoir un chez elles pour vérifier de manière régulière leur santé artérielle, et aussi pour détecter le risque d’hypertension.

Quel type de tensiomètre choisir ?

Les avancées technologiques permettent actuellement une utilisation facile avec le moindre effort. Il vous suffit d’appuyer sur un bouton. Les tensiomètres mono brassard et manuels deviennent presque inutilisables. Vous pouvez désormais avoir chez vous des tensiomètres techniquement plus performants, tels que les tensiomètres connectables à un PC et les tensiomètres électroniques. Ils affichent la mesure systolique, diastolique et le pulse, et indiquent l’installation correcte du brassard. Vous pouvez aussi avoir le tensiomètre brassard avec connexion Bluetooth avec des fonctionnalités numériques automatiques. Le tensiomètre bras électronique est également unique en son genre. Il y a ceux qui sont intelligents servant à détecter les pulsations cardiaques irrégulières. D’autres tensiomètres de bras détectent d’ailleurs les risques de fibrillation auriculaire.

Les séances de kinésithérapie prénatale représentent plus que des massages

La kiné prénatale est complémentaire aux consultations chez le gynéco ou la sage-femme. Les spécialistes de l’obstétrique expliquent en détail le déroulement de l’accouchement. De son côté, le kinésithérapeute apprend à la femme enceinte comment bouger tout au long de la grossesse. Il lui indique également les bons gestes pour moins ressentir la fatigue. Par-dessus tout, les entrevues permettent de connaitre les bonnes habitudes à adopter pendant la grossesse, mais également pendant le travail. La femme gravidique doit notamment se relaxer pendant le travail. C’est la période où les contractions se font de plus en plus pressantes. Le kiné délivre le pouvoir de l’expiration contre les lancinations. Puis, il donne diverses techniques pour pousser lorsque le moment est venu de le faire. Ces instructions ne sont pas contraires aux recommandations de la sage-femme. Cette spécialiste accepte si la future maman veut adopter une posture alternative à celle de la délivrance physiologique classique.

Venir à partir du 7e mois, avec le papa

Idéale pour préparer un accouchement sans douleur, la kinésithérapie peut commencer à partir du septième mois de grossesse. Les entrevues débutent dès la 30e semaine d’aménorrhée. Il faut attendre cette période afin d’axer la formation sur des techniques concrètes. Cela dit, il est tout à fait possible de démarrer les séances à compter du troisième mois. Cette anticipation est indispensable si la femme enceinte veut donner naissance à son enfant dans l’eau. Il s’agit de la kinésithérapie prénatale aquatique. Les pères peuvent assister aux cours. Ils doivent vivre d’intenses expériences aux côtés de leurs épouses. Certains exercices sont à faire côte à côte pour consolider la complicité entre les parents. C’est une occasion de renforcer le dialogue conjugal et le développement de l’empathie. De toute manière, les papas ont intérêt à bien connaitre le déroulement de la naissance d’un enfant. L’accouchement sans douleur est idéal, mais la péridurale ainsi que la césarienne sont également possibles.

Le déroulement de chaque séance chez le kiné

Il est possible d’assister à une séance de kiné collectif pour environ 12 euros. Il faut compter 5 fois plus si le rendez-vous se passe individuellement. Celles qui souhaitent un accouchement sans douleur paient un prix différent de celles qui veulent une péridurale. Ce recours à l’anesthésie locale atténue les souffrances. Les mamans qui optent pour l’injection de ces produits peuvent se contenter de 5 séances de kiné. Il en faut 9 pour les mères de famille qui préfèrent donner la vie avec le moins d’assistance médicale possible. Par ailleurs, diverses méthodes permettent d’ignorer naturellement les souffrances d’une mise au monde. Comme vous pouvez le voir ici, il y a des postures et des techniques de respiration qui atténuent la douleur. La délivrance peut également se passer dans l’eau pour beaucoup plus de souplesse. Cette pratique est médicalement encadrée.

Que manger et que ne pas manger ?

Qu’est-ce qui est bon et qu’est-ce qui ne l’est pas, c’est l’éternelle question à laquelle de nombreuses réponses ont été apportées mais les rappels à ce sujet ne sont jamais superflus. Ce qui peut vous perturber également, c’est la diversité des opinions entre les nutritionnistes, ce qu’en disent les scientifiques, vos moyens financiers et ce que vous pouvez trouver au marché. Mais aujourd’hui plus que jamais, vous devez faire attention à ce que vous manger parce que tomber malade en raison d’un déséquilibre alimentaire peut entraîner de lourdes conséquences. Cela vous causerait des dépenses supplémentaires et vous rendra plus vulnérable aux virus et aux germes qui circulent.

Un régime alimentaire sain

A la base, un régime alimentaire sain ne coûte pas cher, mais le problème peut se poser ailleurs : vous ne trouvez pas ce qu’il faut au marché. Les fruits et légumes de saison, des légumineuses et des céréales, de la viande blanche et du poisson, de préférence le saumon et les sardines, sont quelques-uns des aliments à privilégier. Le mode de cuisson a également son importance, plutôt à la vapeur et grillés pour garder le maximum de nutriments. Ne pas oublier de boire de l’eau, même si on n’a pas soif. Ce type de régime peut aider à préserver votre santé.

Ce qui est à l’origine des allergies alimentaires

Il existe plusieurs aliments à l’origine des allergies alimentaires. On peut citer les fruits de mer tels que les crevettes et les crabes, les poissons et les coquillages, les œufs, les noix, le lait de vache, le maïs, le blé, la gélatine et certains additifs alimentaires et bien d’autres encore. Parfois, l’hérédité joue un rôle dans l’apparition des allergies, si un des parents ou les deux ont des allergies alimentaires, il y a de fortes chances où l’un ou même tous leurs enfants les aient également. Mais l’environnement dans lequel une personne vit ou son milieu de vie peuvent être aussi des facteurs de risque.

Quels en sont les symptômes ?

Comment se manifeste une allergie alimentaire ? En général, les symptômes apparaissent juste quelques minutes après qu’une personne allergique ait senti l’odeur d’un aliment, après en avoir consommé ou après avoir été en contact avec cet aliment. Dans certains cas, les symptômes surviennent jusqu’à 72 h après. Mais les symptômes les plus fréquents sont le gonflement des lèvres, de la langue, de la gorge, des lèvres, des yeux ou de tout le visage, les nausées et les vomissements, des douleurs abdominales, la diarrhée, des urticaires ou de l’eczéma, des troubles respiratoires, une chute de la tension artérielle, un écoulement des yeux ou du nez etc.

Plus d’explications sur ce phénomène

Ces musiques sont considéré comme des « blancs ». Cela a un lien avec la lumière blanche. Le bruit blanc naît de la superposition de plusieurs longueurs d’onde sonore. Le bruit blanc camoufle les autres sons et minimisent leur onde d’éveil. Le Dr Marie-Josèphe Challamel, pédiatre et experte dans les troubles de sommeil enfantine a réalisé quelques expériences en laboratoire pour étayer cette thèse. Pour aider les enfants à s’endormir plus rapidement, elle et son équipe envoie du bruit blanc dans le laboratoire du sommeil. Aucun consensus ne confirme pas encore sa thèse, mais une grande marque d’écouteurs s’est basé sur ses recherches pour concevoir des écouteurs qui diffusent des bruits blanc.

Des effets positifs avec le bruit blanc?

Le bruit blanc a pour effet de minimiser certains bruits nuisibles de l’environnement. Il inhibe l’activation du cortex cérébral pendant que vous dormiez. Le bruit blanc joue un rôle d’écran protecteur invisible, une barrière qui empêche les autres sons d’atteindre le cerveau.Ce sont surtout les personnes ayant le sommeil assez léger et qui se réveil à la moindre bruit. En effet, l’ouïe reste en activité même en plein sommeil. Il nous aide à détecter les dangers surtout quand nous nous endormons.

Vraiment efficace pour les troubles du sommeil?

Les bruits blancs ne doivent être utilisés pour traiter les troubles du sommeil, cela peut camoufler un problème d’insomnie, dont les causes sont inconnues. La personne arrive peut-être à trouver le sommeil sur le moment, mais pour résoudre réellement le problème, ce type d’astuce n’est pas trop recommandé. Cela ne permet pas de déterminer quelles sont les réelles causes de l’insomnie, comme les états d’anxiété. Le traitement par le bruit blanc pourrait également masquer certaines pathologies beaucoup plus graves telle que la dépression par exemple.

Quelques caractéristiques d’une sur-blouse lavable

Qu’est-ce qui caractérise une sur-blouse lavable ? Premièrement, un médecin, une infirmière ou une sage-femme peut n’en posséder que deux ou trois, voire une seule, car justement, la sur-blouse peut être lavée. Pour être utilisée à nouveau, la sur-blouse doit juste être lavée à l’eau chaude, séchée et repassée correctement. Évidemment, pour éviter d’avoir à porter la même sur-blouse deux ou trois jours d’affilée ou de la garder même si elle est sale, il est préférable d’en avoir plusieurs. Une sur-blouse lavable possède une ouverture sur le dos qui facilite l’enfilage et le déshabillage. En général, elle est de manches longues et a un bas de manche resserrable, ce qui permet le port de gants de protection. Sa coupe est unisexe, ce qui s’avère très pratique, et sa longueur est de 110 cm. Une sur-blouse lavable est composée de polyester à 60 % et de coton à 40 %. Elle est bien adaptée au lavage industriel. On recommande un lavage à 60° en machine et un premier lavage avant la première utilisation. Une sur-blouse lavable peut être lavée 50 fois avant d’être jetée.

Les raisons de choisir une sur-blouse lavable

Le personnel soignant est constamment en relation avec les patients, les blessés, les opérés, le sang, les médicaments, etc., ce qui veut dire que le milieu médical donne lieu à des salissures de tous genres, c’est inévitable. N’oublions pas aussi que les microbes et les virus pullulent dans les hôpitaux et les cabinets médicaux. La sur-blouse est donc l’un des remparts du personnel soignant. Elle aide à préserver leur santé. Une sur-blouse est aussi utile pour protéger la tenue, les habits personnels des médecins, infirmiers, etc.
Ce qui est avantageux avec une sur-blouse lavable, c’est qu’elle réduit les frais et diminue le gaspillage. Les sur-blouses jetables coûtent chères et les hôpitaux doivent en avoir un stock important en permanence. Ces sur-blouses à usage unique sont efficaces, mais elles induisent des dépenses importantes. Il ne faut pas croire que les versions lavables présentent des risques pour le personnel et les patients. Elles réduisent la propagation des virus de manière efficiente. Puis, en optant pour les sur-blouses lavables, les hôpitaux réalisent de réelles économies, car chacun est tenu de prendre soin de ses sur-blouses et elles ne sont à jeter qu’à leur fin de vie.

Les causes de la tendinite

Pourquoi une personne souffre-t-elle de tendinite ? Les causes les plus évoquées sont les mouvements répétés, un effort excessif, que ce soit dans le cadre du travail ou dans la pratique d’un sport par exemple, ce peut être une blessure, un faux mouvement, des mouvements inhabituels ou brusques, des rhumatismes inflammatoires, une mauvaise posture ou la prise de certains médicaments, en l’occurrence des stéroïdes anabolisants ou des fluoroquinolones. Le plus souvent, les personnes qui risquent le plus de contracter la tendinite sont les sportifs de haut niveau, en raison d’une pratique intense, mais aussi les sportifs amateurs, du fait d’une mauvaise pratique sans échauffement, les personnes obèses ou en surpoids, les malades du diabète, de la goutte, du lupus ou autre, les femmes ménopausées, les personnes d’âge moyen et les seniors à cause de la perte de l’élasticité de leurs tendons. Mais n’importe qui faisant peu de cas de son hydratation et de son alimentation risque également d’être candidat à la tendinite en cas d’effort intense. Lorsque la tendinite s’installe, la personne touchée va ressentir de fortes douleurs pendant l’activité, une rougeur et un gonflement peuvent apparaître au niveau du tendon concerné, et celui-ci peut devenir brûlant.

Comment traiter la tendinite ?

Est-il possible de traiter et de soigner la tendinite ? La réponse est oui ! Vous trouverez pleins d’informations pour vous soigner sur le site https://tendinite.pro. Cependant, une prise en charge est nécessaire. Pour atténuer la douleur, parfois, une simple poche de glace à appliquer sur la zone touchée peut suffire. Souvent, le médecin préconise un anti-douleur comme l’acétaminophène ou l’ibuprofène, il peut également prescrire de la pommade ou du gel à appliquer sur le tendon douloureux. Le médecin conseille souvent de surélever le pied et de le laisser au repos, le temps que la douleur s’éloigne. Il arrive que des séances de physiothérapie soient recommandées, et dans le pire des cas, une intervention chirurgicale. Pour ne pas en arriver là, il faut prendre l’habitude de bien s’hydrater, toute la journée mais surtout pendant l’effort, puis, s’échauffer suffisamment avant l’effort et ne pas oublier de bien s’étirer après. Il faut aussi apprendre à adopter les bonnes postures, avoir les bonnes chaussures pour courir par exemple, arrêter le sport si on est blessé et prendre suffisamment de repos pour que le membre touché puisse récupérer correctement. Il est également utile d’avoir pour habitude de prendre des pauses en cas d’efforts intenses au travail, faire des exercices d’étirement, surtout pour le membre sollicité.

Adoptez de bonnes habitudes

Première habitude à adopter à partir de maintenant, c’est de boire régulièrement, et nous parlons de boire de l’eau plate bien évidemment. Rappelez cela à vos enfants qui doivent en boire entre 1 et 1,5 l chaque jour, et vous, dans les 2 l par jour. Le fait est que l’eau facilite l’élimination des toxines dans le corps et régule la température de votre corps. Deuxième habitude indispensable : prendre votre petit-déjeuner. Peut-être n’aviez-vous pas le temps de le faire tous les matins lorsque vous deviez partir travailler mais n’oubliez pas que c’est le repas le plus important de la journée.

Prenez soin de ce que vous mettez dans votre assiette

Il est également nécessaire pour votre santé que vous veillez à ce que vous mangez. Pensez à manger beaucoup de fruits et légumes frais, des céréales complètes, des produits laitiers demi-écrémés et des protéines maigres. Mangez des poissons gras comme les sardines, le thon et le saumon, sans oublier l’huile d’olive, les fruits à coque et les avocats. Le soir, veillez à manger au moins 3 heures avant de vous coucher, afin que la digestion se fasse normalement et que la qualité de votre sommeil soit optimale.